Article avec intervention de Yann
Tortue luth (Dermochelys coriacea)
Certaines rencontres ne peuvent s’oublier. Aucune photo, aucun texte ne peut retranscrire l’émotion que l’on ressent sur place. Je vais pourtant essayer de vous faire partager, ne serait-ce qu’un petit peu, une telle expérience. Aujourd’hui donc, pas de détails techniques, pas de discussions sur la photographie, pas d’informations sur l’animal. Juste l’histoire d’une rencontre. Pour cela, laissez parler votre imagination…
Aras rouge (Ara macao)
Non contents de crapahuter des heures en forêt durant la journée, Anaïs et moi avons poussé le vice en ajoutant à cela quelques virées sur les pistes à l’aube ou au crépuscule. Et parfois, ça paye. Ceci dit, heureusement qu’il y a un an de boulot ensuite pour pouvoir se reposer de ses vacances…
Tamarins à main jaunes (Saguinus midas)
Même si la jungle s’avère souvent avare en rencontres avec des mammifères, les tamarins ont toujours répondu présent. Mais pour ensuite tirer le portrait de ces petits primates, il faut souvent une bonne dose de chance. Ce fut le cas pour cette photo, et en prime sans même avoir besoin de marcher des heures en forêt. Trop dur la vie d’un photographe…
Criquet-phasme (Proscopia sp.)
Hier, je vous parlais de la difficulté à repérer les animaux, tant le mimétisme est bluffant. Mais une fois trouvé, la morphologie de certaines espèces continue à poser des problèmes, cette fois pour identifier l’animal. Car il semblerait que certaines espèces s’amusent à copier des animaux appartenant à un autre groupe. Explications de ce casse-tête.