Des animaux encore et encore…. Que je les aime…
Crapaud buffle (Bufo marinus)
Quand on parle des animaux venimeux en forêt amazonienne, on pense tout de suite aux redoutés serpents, mygales, et autres scorpions. Je vous disais hier que ces animaux étaient souvent bien loin des clichés de prédateurs avides de sang. Mais la jungle abrite aussi une foule de bestioles apparemment sans danger, mais qui offrent leur lot de mauvaises surprises.
Abeilles à identifier…
Peut-être le post d’hier a-t-il fini de convaincre certains que la Guyane, ce n’était pas pour eux. Trop de bestioles dangereuses, entre les gigantesques mygales et les serpents au venin mortel. Le mythe d’un gigantesque enfer vert où l’on risque sa vie à tout moment dans une nature hostile a décidemment la vie dure. Alors, dangereuse la jungle ?
Mygale de Leblond (Theraphosa blondi)
La plus grande mygale au monde vit en Guyane. Quoi de mieux donc que ces clichés de Theraphosa blondi – c’est son petit nom – comme introduction à quelques posts sur les animaux venimeux, qui suivront dans les prochains jours. Avec en bonus pour les lecteurs les plus téméraires, un petit cours pour apprendre à attraper une mygale, entièrement en vidéo !
Tyran quiquivi (Pitangus sulphuratus)
Quiscale merle (Quiscalus lugubris)
Aujourd’hui, un petit mot sur les oiseaux des villes. Car il n’y a pas qu’en forêt que l’on peut croiser la gente ailée ! En Guyane, on troque le merle noir et le moineau contre le Quiscale merle et le tyran. Mais en ville, d’autres espèces n’ont pas la chance de pouvoir voler, restant derrière les barreaux.
Fourmi à identifier…
En Guyane, il n’y a pas que les marches en forêt et les séances photo : on peut aussi faire des sorties culturelles ! Sans toutefois s’interdire de photographier quelques rencontres faites sur le chemin… Nous nous sommes donc rendus dans un endroit révélateur de tout un pan de l’histoire du département, mais, malheureusement, aussi de la gestion actuelle de la Guyane : un ancien bagne.